Juliette Mourdain regarde partir le séduisant serveur avec un regard plein de nostalgie. Il semblait que tout le personnel de service de ce centre de villégiature était séduisant. “Ça doit leur rapporter plus d’argent”. Se dit-elle. “Si les clients étaient trop préoccupés à reluquer le personnel, ils risquaient moins de remarquer les prix exorbitants.” Cette dernière pensée lui arracha un sourire ironique.

Non pas qu’elle s’en préoccupe ; son séjour et ses dépenses au centre de villégiature étaient entièrement payés par son entreprise.

Juliette était conseillère d’entreprise dans une société internationale. Elle avait une quarantaine d’années, des cheveux bruns souris qui lui arrivaient aux épaules et était plutôt petite. Ses yeux étaient assortis à ses cheveux. Ses yeux étaient assortis à ses cheveux, d’un agréable noisette, et ils étaient brillants d’une intelligence vive. Elle avait un bonnet C respectable et travaillait dur à la salle de sport pour garder une carrure raisonnablement athlétique, même si, lors d’un voyage comme celui-ci, elle s’accordait un jour ou deux sans passer par le tapis roulant. En temps normal, elle travaillait dans un seul bureau à Strasbourg, mais une conférence dans le sud qui s’appliquait à ses compétences particulières était trop belle pour être laissée de côté et elle avait convaincu sa société de payer la note. Elle suppose qu’elle ne devrait pas reluquer qui que ce soit, elle doute que son mari l’approuve. Mais il y a longtemps qu’elle n’a plus besoin de son approbation en matière de sexualité.

Un peu plus âgé qu’elle, Michel Mourdain, le mari de Juliette, possède sa propre entreprise de location de voitures. Il mesure 1,80 m et a les cheveux noirs, bien qu’ils commencent à se couvrir de gris ici et là. Il avait été énergique et athlétique dans la fleur de l’âge, mais il commençait maintenant à développer un léger ventre à bière. Il avait apparemment perdu une grande partie de sa libido, au grand désarroi de la vorace Juliette. Elle supposait que c’était la raison pour laquelle elle n’avait pas pensé à l’inviter. Peut-être qu’elle séduirait une jeune femme sexy et qu’elle s’amuserait comme une folle. Elle soupira à cette pensée, car malgré sa déception à son égard dans la chambre à coucher, elle se considérait comme loyale et ne le tromperait jamais. Michel la négligeait peut-être un peu maintenant, mais il avait été passionné dans leur jeunesse, lorsqu’ils s’étaient mariés pour la première fois, et ils avaient une belle vie ensemble, même si le sexe était inexistant ces jours-ci. C’était un bon mari dans tous les autres aspects, attentionné, prévenant. Il était intime sur le plan émotionnel, même s’il ne l’était pas sur le plan physique.

Juliette fut tirée de ses pensées par une voix ; elle appartenait à la femme avec laquelle elle déjeunait. Juliette avait rencontré Rachèle Corvin à la conférence. Rachèle avait la moitié de l’âge de Juliette, dans la vingtaine, et bien qu’elle lorgnait le personnel masculin autant que Juliette, Rachèle était presque certainement lorgnée en retour par les passants. Rachèle mesure quelques centimètres de plus que Juliette, elle a de longs cheveux blonds soyeux qui lui descendent dans le dos (bien qu’en ce moment elle les porte relevés), des yeux bleus clairs et un bonnet D généreux, qu’elle semble n’avoir aucun problème à montrer dans son chemisier décolleté, mais techniquement toujours respectable. Elle avait une silhouette fine et si Juliette savait qu’elle faisait aussi de la musculation, elle se doutait que Rachèle n’avait pas à y travailler aussi dur qu’elle. Rachèle sirotait sa boisson à travers ses lèvres pulpeuses, mais elle n’était pas une bimbo blonde idiote, ses propres yeux bleus trahissaient un esprit tout aussi vif. Rachèle n’assistait pas personnellement à la conférence ; elle était accompagnée de son mari Derek, un yuppie en pleine forme, mais qui semblait moins intéressé par sa femme sexy que par les excuses qu’il trouvait pour aller boire ailleurs. Juliette avait fait quelques remarques cyniques sur l’homme au podium, ce qui avait amusé Rachel. Elles avaient découvert qu’elles partageaient le même esprit sec et s’étaient instantanément entendues.

Deux jours après le début de la conférence, elles étaient assises ensemble à l’heure du déjeuner pendant une pause dans les séminaires. Le mari de Rachèle avait prétexté un “réseautage” avec d’autres hommes, et Rachèle avait accepté avec résignation. Juliette était contente, elle n’avait pas beaucoup d’amis, et certainement pas des amis qui semblaient avoir une libido similaire à la sienne et qui aimaient vraiment parler de sexe, et Rachèle n’était pas timide à ce sujet non plus. Juliette ne savait pas trop comment leur conversation avait dérivé sur le sujet du sexe ; peut-être était-ce dû à tous les piliers de testostérone sculptés qui passaient devant elles avec des boissons alcoolisées.

“Oh oui, j’ai baisé beaucoup de gars. Parfois, Derek aime regarder, mais la plupart du temps, il ne le sait pas. Je ne pense pas qu’il s’en soucierait s’il le savait. Je suis sûre que la plupart d’entre eux me considèrent comme une sorte de conquête, mais je trouve amusant de voir à quel point ils sont faciles à contrôler une fois que tu as fait monter leur sang. C’est comme si leurs fonctions cérébrales supérieures n’étaient plus entretenues. Et toi ?”

Rachèle ne partageait manifestement pas la loyauté de Juliette dans le mariage…. Mais c’était tout de même exaltant d’entendre parler de toutes les escapades de Rachèle. Il était étrange qu’elle apprécie la compagnie scandaleuse d’une personne tellement plus jeune qu’elle. “Peut-être que je veux juste vivre par procuration à travers cette jeune minette ?” se dit Juliette. Si Juliette ne pouvait pas avoir la vie sexuelle qu’elle désirait tant, elle pouvait au moins entendre parler de celle de quelqu’un d’autre. Elle dit à voix haute :

“Oh, je n’ai pas vraiment été avec quelqu’un depuis que j’ai épousé Michel…” Elle laisse son ton dériver.

“Wow ! Tout ce temps ? Ma fille, il faut que tu te laaaaiiides !” dit Rachèle en souriant. Dieu que ses dents sont parfaites.

“Je m’envoie en l’air ! Michel et moi sommes… Actifs.” Ce dernier mot est resté en suspens. Même Juliette n’était pas convaincue. Les anniversaires et les vacances étaient la norme, et même là, ils étaient de moins en moins fréquents depuis quelques années. Il était allé se coucher tôt le jour de son dernier anniversaire, la laissant excitée et frustrée.

“Écoute, tout ce que je sais, c’est qu’il y a de la faim dans tes yeux chaque fois qu’un de ces beaux gosses passe devant toi.”

Juliette est restée silencieuse. Était-elle si évidente ?

“Les Noirs sont mes préférés.” Rachèle poursuit : “C’est vrai ce qu’on dit, une fois que tu es noire…”

Leur conversation s’est poursuivie ainsi. Juliette était tranquillement ravie de toutes les histoires croustillantes de Rachèle et souhaitait secrètement que ce soit elle dans certaines d’entre elles. Elles ont finalement terminé le déjeuner et Juliette est retournée à ses séminaires. Quelques jours plus tard, la conférence s’est terminée. Rachèle et Derek ne vivaient pas à Strasbourg, mais Derek s’y rendait régulièrement pour son travail. Ils ont donc convenu que la prochaine fois qu’il se rendrait à Strasbourg, dans quelques semaines, Rachèle l’accompagnerait et qu’elle viendrait dîner et passer la nuit avec Juliette et Michel.

Quelques jours plus tard, alors que Juliette était au travail, elle n’a pas pu s’empêcher de repenser aux commentaires de Rachèle sur les hommes noirs et à ses autres histoires. Elle connaissait un Noir au travail, Johan. Il était dans l’entreprise depuis peut-être un an ? Juliette ne lui avait pas vraiment parlé ou n’avait pas eu besoin de le faire, à part quelques salutations civiles et des banalités en passant. Elle savait qu’il était célibataire, elle avait entendu plusieurs secrétaires de l’immeuble cancaner sur sa précocité dans la chambre à coucher. Plus d’une d’entre elles avait été vue assise bizarrement après certains week-ends, à leur grand rire. Une idée a germé dans l’esprit de Juliette, une idée méchante et sale. Mais elle savait que si elle ne faisait pas QUELQUE CHOSE pour soulager sa libido grandissante, elle éclaterait ! Elle a appelé Rachèle quelques jours avant son arrivée. Elles ont discuté des détails de dernière minute, de ce que Rachèle aimerait pour le dîner, le bavardage habituel. Puis Juliette a trouvé le courage de lui poser la question :

“Alors, j’ai beaucoup réfléchi à ce que tu as dit sur les Noirs et sur le fait que ça ne te dérange pas d’avoir un peu de… ‘plaisir’ quand Derek n’est pas là. Je connais un noir au travail qui est… beau. Ça te dérangerait si je l’invitais à dîner ? Si vous vous entendez bien, vous pourrez peut-être vous amuser, sinon ce sera juste un bon dîner ?” Juliette déglutit et attendit plusieurs secondes angoissantes que Rachèle réponde. Qu’est-ce que Juliette est en train de faire ? Pourquoi est-ce si important pour elle de présenter Rachèle à Johan ? Quelle différence cela fera-t-il honnêtement si deux étrangers s’envoient en l’air dans sa maison ?

“Oh Juliette, tu es sournoise ! Tu essaies d’être mon mac ?!” Juliette a entendu

Rachèle rire de son rire contagieux au téléphone. “Bien sûr ! Ça a l’air d’être amusant !” Juliette a relâché un souffle qu’elle n’avait pas réalisé avoir retenu.

Juliette a invité Johan à dîner le lendemain. Bien qu’elle n’ait pas précisé exactement ce qu’elle pensait qu’il pourrait se passer, elle a insisté sur le fait que sa jeune, sexy et blonde amie serait également présente.

“Non, ouais, ça a l’air d’être amusant. Merci beaucoup pour ton invitation, j’adorerais venir.” Johan a eu un regard dans les yeux pendant un bref instant, comme s’il voulait faire un clin d’œil à Juliette, mais il ne l’a pas fait. Juliette se demandait s’il était souvent invité à “dîner” ? Elle ne blâmerait pas les autres ; Johan était pratiquement un dieu parmi les hommes. Il mesurait au moins 1,80 m, portait une chemise et une cravate ajustées et on pouvait deviner qu’il y avait des muscles ondulants en dessous. Il avait des cheveux noirs courts et des yeux bruns perçants. Quoi qu’il en soit, elle l’a quitté avec le cœur battant et un sentiment d’anticipation grandissant.

Le week-end est enfin arrivé et Rachèle est arrivée la première en taxi. À eux deux, Juliette et Michel, ils avaient un revenu décent et pouvaient s’offrir une maison de bonne taille. Assez pour trois chambres d’amis réparties sur une grande surface.

Rachèle a été présentée à Michel et lui a fait visiter la maison. Michel semblait déconcerté par cette pétillante jeune femme de vingt ans qui ne semblait avoir aucun point commun avec sa femme, mais Juliette l’avait manifestement manquée. Rachèle était suffisamment avisée pour que la conversation reste timide en présence de Michel, mais elle était tout aussi flamboyante et pleine d’esprit. Peu de temps après, Johan est arrivé. Si Michel se doutait de quelque chose en invitant ce grand et bel homme noir chez eux, il ne le montrait pas. Juliette avait menti en disant qu’il était nouveau dans son service et qu’elle voulait qu’il se sente à l’aise pour qu’il puisse venir la voir pour n’importe quoi. Il s’était habillé d’une chemise et d’une veste élégantes et décontractées et avait apporté une bonne bouteille de vin. Juliette a présenté Johan à Rachèle et on pouvait presque sentir l’électricité dans l’air. Inutile de dire qu’ils se sont bien entendus, riant aux blagues des uns et des autres.

Michel était peut-être ennuyeux dans la chambre à coucher ces derniers temps, mais il était toujours un bon cuisinier. Le repas a été très apprécié et le vin a coulé à flots. Un peu trop librement dans le cas de Michel, car il a dit qu’il ne se sentait pas bien et s’est excusé d’aller au lit assez tôt. Juliette avait “accidentellement” gardé la coupe de son mari pleine pour qu’il aille se coucher tôt. Juliette n’avait pas à s’inquiéter qu’il voie quoi que ce soit qu’il n’était pas censé voir, car elle savait qu’il s’éteindrait comme une traînée de poudre et ne remarquerait pas son absence si elle décidait de rester éveillée pour “surveiller” leurs invités… Peu de temps après, Juliette s’est excusée, prétextant qu’elle aussi avait l’intention d’aller dormir, et a laissé Rachèle et Johan faire plus ample… connaissance. Juliette est effectivement montée à l’étage et s’est préparée à aller au lit, s’habillant d’une chemise de nuit légère. Mais au lieu de dormir, elle a traversé le palier en direction des chambres d’amis et s’est cachée dans le placard adjacent. Elle ne pourrait rien voir directement, mais elle pourrait s’approcher suffisamment pour écouter.

Après que Juliette se soit excusée et leur ait souhaité bonne nuit, Rachèle et Johan sont restés seuls. Ils ont partagé un regard complice et se sont regardés l’un l’autre, mais ils ont continué leur conversation polie pendant un certain temps. Finalement, Rachèle a mentionné avec désinvolture :

“Alors… Qu’est-ce que tu aimerais faire maintenant ? Je suppose que tu es fatigué, peut-être devrions-nous aussi nous retirer pour la nuit ?” Elle passait timidement son doigt sur le bord de son verre de vin en parlant, la perspective de se faire baiser par cet homme puissant faisait monter son excitation, combinée à l’agréable buzz que lui procurait le vin. Johan sourit, se transformant en un sourire complice et un sourcil levé.

“Je pense que tu sais exactement ce que je veux faire maintenant. Notre hôtesse n’est pas prude ; elle savait depuis le début ce qui allait se passer ce soir !”

Juliette entendit des rires étouffés depuis sa cachette dans le placard, puis se décaler, Rachèle et Johan montèrent à l’étage, passèrent devant le placard et entrèrent dans une chambre à coucher. Ils sont passés juste devant le placard, et elle pouvait voir leurs silhouettes à travers les interstices de la porte. Elle avait peur de faire un bruit au cas où on la découvrirait. Peur ! Pourquoi a-t-elle peur ? C’est sa propre maison ! se dit Juliette en se réprimandant. Et pourtant, elle était là, recroquevillée dans son propre placard comme une enfant qui a peur de se faire prendre la main dans le sac !

Rachèle et Johan disparurent dans l’une des chambres d’amis à côté du placard et fermèrent la porte derrière eux. Dans la même pièce ensemble ! Ça y est, c’est fait ! Juliette sentit son cœur commencer à battre plus vite, sa tête devenir légèrement plus légère et la zone entre ses jambes se réchauffer sous l’effet d’une poussée de sang. Elle a pressé son oreille contre le mur du placard avec impatience. Au début, elle n’entendit rien et, alors que les minutes commençaient à s’allonger, elle n’entendit toujours rien. Elle commença à se sentir un peu bête, plantée là, la tête contre le mur. Et s’ils s’étaient endormis ? Et s’ils avaient trop bu ? L’idée de sortir de son placard sans avoir été satisfaite laissait un mauvais goût dans la bouche de Juliette. Mais elle l’a entendu, un gémissement. Doux au début, presque imperceptible, mais au fur et à mesure que les secondes passaient, il y en a eu un autre, puis un autre plus fort et encore plus fort. Juliette est heureuse que Michel ait tant bu et que la chambre principale se trouve de l’autre côté de la maison ! Les gémissements s’intensifient et il y a maintenant des halètements. Juliette entend une série de petites claques dures ponctuées par des cris de Rachèle, puis elle entend Rachèle prononcer des mots étouffés mais urgents entre les gémissements et les halètements : “Merde ! Baise-moi ! Plus fort !” Quelques instants plus tard, il y a eu un bruit de claquement répétitif ; Juliette a imaginé des chairs en sueur se tordant l’une contre l’autre, puis un long “Oh gaaaawwwd !” a jailli de Rachèle par-dessus le bruit des claquements à travers le mur.

Rachèle et Johan ont continué pendant ce qui a semblé être une éternité, mais Juliette ne s’est pas plainte. Elle s’est glissée sous sa chemise de nuit et a trouvé son clito gonflé et douloureux, le frottant furieusement au son de la luxure charnelle de ses amies dans la pièce voisine. Juliette a essayé d’imaginer ce que cette bite noire ressentait, glissant dans sa chatte, remplissant son amie et l’étirant jusqu’au point de rupture, et elle a commencé à respirer fortement elle-même. Les gémissements de Rachèle étaient maintenant devenus des cris, gutturaux, comme les sons qu’un animal ferait pendant l’accouplement, primitifs. Comme Juliette aimerait pouvoir voir ! Elle avait envisagé d’installer une caméra cachée, mais elle ne savait pas ce que Rachèle en penserait et, de plus, Juliette ne savait pas exactement quelle pièce ils auraient utilisée.

Au bout d’un moment, les cris ont commencé à s’atténuer pour laisser place à des gémissements plus doux, et ils ont fini par s’arrêter complètement. Juliette entendit la porte s’ouvrir, elle détacha son oreille du mur et vit Johan passer devant elle en direction de la salle de bains. Il est entré et a fermé la porte derrière lui. Incertaine de ce qui la possédait, Juliette décida qu’elle devait voir par elle-même les conséquences. Au moins, elle devait aller voir son amie Rachèle, juste pour confirmer que ses cris n’étaient pas dus à la douleur !

Aussi silencieusement que possible, elle sort du placard. Elle se dirigea vers le cadre de la porte d’où Johan était sorti, la porte était encore légèrement entrouverte, et elle jeta un coup d’œil à travers. Juliette pensait savoir à quoi s’attendre, mais ce qu’elle a vu lui a fait prendre une grande goulée et sentir un début d’humidité fraîche dans ses parties génitales. Il y avait Rachèle, sa jeune et douce amie, qu’elle avait invitée ici ce soir, allongée sur le grand lit. Rachèle était entièrement nue, face à la porte, en position d’aigle. Ses poignets et ses chevilles étaient attachés aux montants du lit avec ce qui semblait être des foulards en soie. Malgré leur apparence délicate, ils étaient manifestement attachés très solidement. Un autre foulard en soie entourait la tête de Rachèle, aveuglant complètement ses jolis yeux bleus. Mais ce qui a attiré le regard de Juliette de façon si hypnotique, c’est la zone située entre les jambes grandes ouvertes de Rachèle. Ses fesses rondes et pâles étaient légèrement rouges et de grandes marques en forme de main étaient là, dues à des assauts répétés. Juliette a vu une petite touffe de poils blonds qui dépassait du pubis de Rachèle, mais sinon sa chatte était rasée de près.

Et quel spectacle que celui de sa chatte ! Sa vulve et ses lèvres étaient rouges et absurdement gonflées, encore écartées, agenouillées, par l’envahisseur gargantuesque qui venait tout juste de libérer son espace le plus privé. Juliette pouvait voir l’intérieur de la chatte violée de Rachèle, d’une douce nuance de rose foncé, mouillée et scintillante à cause de ses propres jus qui s’écoulaient librement, mais aussi à cause de la grosse charge de sperme blanc et collant qui s’échappait lentement de son entrée. Juliette ne pensait pas qu’un homme pouvait produire autant de sperme en une seule fois ! Le sperme coulait le long de la bouche de Rachèle et s’accumulait sur le lit sous les poils pubiens doux et vaporeux. Le bourgeon froncé du trou du cul de Rachèle luisait aussi légèrement. Juliette a repéré un petit pot de vaseline sur la table de nuit ; elle suppose que Johan a prélubrifié son trou du cul avant de partir pour la salle de bain. Rachèle n’allait tout de même pas le laisser la baiser par le cul ! Vu l’état de sa chatte violée, Juliette doute que quelqu’un puisse prendre quelque chose comme ça dans son cul.

Juliette, qui déglutissait encore et essayait d’assimiler la scène de son amie, si vulnérable et manifestement utilisée, s’éloigna lentement de la porte. Avant qu’elle ne puisse se retourner vers sa cachette, une grande et forte main noire s’est tendue vers elle et s’est refermée sur sa bouche. Juliette a failli crier, mais elle a entendu Johan commencer à murmurer à voix basse à son oreille :

“Je ne vais pas te faire de mal. Je sais ce que tu viens de voir, et je sais ce que tu veux.” Juliette a senti l’autre main de Johan serpenter sur le devant de son corps, sous sa robe, et trouver sa chatte humide et douloureuse. Ses doigts ont sondé doucement les lèvres de sa vulve, faisant sortir un peu de sa mouille, en enduisant ses doigts. Elle sentit son corps réagir à son contact et à son souffle chaud dans son oreille, ses mamelons se durcir contre le tissu doux de sa robe, puis elle sentit quelque chose grandir et durcir dans le creux de son dos.

Sans même la voir, elle pouvait dire que sa bite était énorme !

“Je viens de baiser ton amie, et maintenant je vais la baiser à nouveau par le cul. Tu vas regarder et si tu es une bonne fille, je te baiserai une fois que j’en aurai fini avec elle.”

Sur ce, Johan a lâché sa bouche et son autre main, décevante, a quitté son entrejambe. Elle s’est retournée et l’a regardé, ne sachant pas si elle voulait l’embrasser ou le gifler. Johan avait un sourire carnassier sur le visage, suffisant pour savoir ce qu’elle finirait par préférer. Sa colère disparut rapidement lorsque son regard tomba sur son abdomen musclé jusqu’à son entrejambe et que ses yeux noisette s’écarquillèrent. Sa bite était massive ! Pas seulement en longueur, mais aussi en circonférence ! Elle se doutait que si elle tendait la main pour la saisir, elle n’arriverait pas à faire le tour de sa base ! Rachèle avait déjà eu ça dans sa chatte ! Et maintenant, elle va se le faire enfoncer dans le trou du cul ! Juliette espère que Rachèle s’est entraînée avec un gode de cheval avant de venir ce soir ! Sans se départir de son sourire, Johan fit un geste en direction de la porte : “On y va ?”

Juliette entre avec précaution dans la pièce, l’odeur de sueur et de sexe est forte à l’intérieur. Johan l’a suivie à l’intérieur et a déplacé une chaise coussinée qui se trouvait dans le coin de la pièce vers le centre, près du lit.

“Si tu dois regarder, autant avoir une bonne vue”. Il glousse pour lui-même.

“Rachèle, Juliette a décidé de se joindre à nous. Ça ne te dérange pas qu’elle regarde la suite, n’est-ce pas ?”

“Oh non, bien sûr bébé, elle peut se servir. Il est temps qu’elle s’amuse un peu !” Rachèle a carillonné de derrière son store. Elle avait encore l’air un peu étourdie.

Johan sourit à nouveau à Juliette, lui fit un clin d’œil et monta sur le lit, au-dessus de Rachèle. Juliette s’assoit sur la chaise et écarte légèrement les jambes, sa main se tend déjà vers le bas, sa chatte prête pour le spectacle à venir. Johan avait raison, elle aurait une bonne vue. Les poignets et les chevilles de Rachèle étaient toujours attachés au lit, ses jambes grandes ouvertes, sa chatte encore gonflée et luisante de son dernier abus. Johan se positionna au-dessus d’elle, ses longues jambes de chaque côté des siennes, à moitié debout sur le matelas en utilisant ses bras pour soutenir son poids. Sa bite massive était maintenant en pleine érection, elle semblait encore plus grosse que quelques instants auparavant dans le couloir, et pointait directement vers le trou du cul de Rachèle qui l’attendait. Juliette n’arrivait pas à croire qu’un organe aussi massif puisse entrer dans un trou aussi minuscule, l’étoile brune froncée de Rachèle était si petite et si serrée comparée au gland bulbeux qui s’apprêtait à la pénétrer. La bite de Johan était encore luisante du jus de Rachèle provenant de la baise de la chatte, et Johan commença à s’abaisser lentement, inexorablement.

Juliette a vu la grosse tête de bite de Johan toucher le trou du cul de Rachèle. Elle l’entendit pousser un léger soupir en essayant de se détendre contre l’assaut qui s’annonçait. L’étoile froncée ne voulait pas céder, le gland de sa bite risquant d’être énorme par rapport à ce qu’il pressait à nouveau. Lentement, doucement, Johan abaissa davantage son poids vers le bas, laissant la gravité faire son travail. Juliette a vu le sphincter de Rachèle commencer à se déformer sous l’assaut. L’anneau musculaire serré s’ouvrait lentement mais sûrement à l’envahisseur massif. Juliette a entendu Rachèle aspirer un souffle en serrant les dents, avant de se forcer à le laisser sortir, délibérément. Johan s’est arrêté, son gland dépassant à peine la moitié de son entrée anale. Rachèle respire profondément pendant quelques secondes, avant que Juliette ne la voie acquiescer et commencer à repousser Johan. En peu de temps, la tête de sa bite a franchi le premier obstacle, et Juliette pouvait voir, pouce après pouce noir de minuit, la bite de Johan glisser dans le tunnel anal de Rachèle. Rachèle a commencé à gémir, d’abord doucement. Elle respirait encore bruyamment avec des cris de douleur occasionnels, s’adaptant à la taille massive qui s’enfonçait avec insistance dans ses profondeurs, mais Juliette entendait clairement l’excitation dans sa voix maintenant. Après au moins trente longues secondes, Juliette a vu les lourdes boules de Johan se poser sur la chatte de Rachèle. Son gland entier était maintenant fermement implanté dans le rectum de Rachèle ! Son gland doit certainement être dans son intestin maintenant ! Si elle n’était pas couchée, Juliette se doutait bien que l’estomac de Rachèle serait distendu par l’envahisseur.

Presque aussi lentement qu’il était entré, Johan s’est retiré de toute sa longueur. C’était tout aussi obscène de le voir sortir que de le voir entrer ! Juliette regarde le long et large PÔLE noir de Johan émerger sans effort de l’arrière-train de Rachèle, dur et inflexible dans la faible lumière. Puis, beaucoup plus rapidement qu’au début, Johan a fait glisser son gland à l’intérieur d’elle. Juliette ne pouvait pas voir son visage, mais elle pouvait imaginer l’expression du visage de Rachèle, la bouche ouverte, les yeux écarquillés lorsqu’elle l’a senti plonger à nouveau dans son anus, son sphincter n’offrant aucune résistance maintenant, étroitement enveloppé autour de la peau sombre. Cette fois, Rachèle émet un gémissement. Johan a pris cela comme une confirmation qu’il pouvait augmenter le rythme, retirant toute sa longueur jusqu’à la pointe et poussant à nouveau plus vite qu’avant, et encore, et encore. Juliette se doigte furieusement tandis que ses amies poussent des gémissements et des cris de plaisir et de douleur, voyant la taille de Johan l’étirer et disparaître dans ses entrailles. Rachèle gémissait et criait à chaque poussée de plus en plus fréquente, elle commençait à parler à chaque fois qu’elle sentait tout son schlong en elle ;

“Ugh, merde. Merde. Merde. Putain. Ouais ! Baise-moi ! Baise mon cul ! Je *pante* ne *pante* pas vouloir *pante* être capable de *pante* m’asseoir pendant *pante* une semaine !”

Cela a déclenché quelque chose au plus profond de Johan qui s’est mis à fond, martelant le trou du cul de Rachèle avec autant de force qu’il le pouvait. Les cris de Rachèle sont redevenus des cris gutturaux, tous deux délirant de plaisir, deux animaux s’envoyant en l’air, de lourdes boules claquant contre sa chatte, la peau moite claquant contre ses joues, Juliette apercevant brièvement l’énorme bite libérer son canal anal avant d’être violemment repoussée dans ses intestins. Juliette a perdu la notion du temps, elle a atteint l’orgasme au moins deux fois, mais au bout d’un moment, Johan s’est enfoncé le plus profondément possible dans la croupe de Rachèle, a poussé un grognement de triomphe et s’est maintenu en elle. Juliette a vu Rachèle se tortiller sous lui, pousser ses fesses et tourner autour de lui, voulant qu’il se vide le plus profondément possible en elle. Les cris de Rachèle ont atteint leur propre crescendo avant de s’apaiser. Juliette pouvait voir les couilles de Johan se contracter et se rétrécir au fur et à mesure qu’elles se déchargeaient dans le trou du cul de Rachèle.

Lentement, délicatement, Johan a retiré son énorme bite du cul de Rachèle. Juliette regarde avec stupéfaction sa bite émerger, une épaisse ligne de sperme bavant de sa tête, sa destination enfouie au plus profond de la fente assaillie de Rachèle. Son trou du cul était rouge et béant, un trou noir dans son corps laissé ruiné et ridiculement ouvert par l’envahisseur.

Malheureusement (ou heureusement pour Juliette, selon votre point de vue !), Johan était complètement épuisé après deux rounds avec Rachèle. Lui et elle étaient tous deux épuisés et Johan s’est rapidement rendu dans sa propre chambre pour dormir. Juliette est déçue, mais elle comprend. Elle a tenté de réveiller Michel pour qu’il s’en occupe, mais ses ronflements ont été à peine interrompus. Juliette finit par s’endormir, excitée et vidée.

Le matin, ils ont tous partagé le petit déjeuner et les plaisanteries habituelles. Johan les a remerciés pour cette belle soirée et est rentré chez lui, tandis que Rachèle (marchant un peu bizarrement, Michel n’ayant pas conscience de la grosse bite qui avait pénétré dans sa chatte et son anus la nuit dernière) a pris un taxi pour retourner à l’hôtel où logeait Derek, afin qu’ils puissent prendre l’avion pour rentrer chez eux. Juliette a repris le travail la semaine suivante et s’est installée dans sa routine habituelle. Mais rien ne sera plus comme avant. Le dîner avait réveillé quelque chose de profond en elle. Elle savait maintenant que le sexe pédestre éphémère avec Michel ne la satisferait plus jamais.

Préférence de la coquine : sodomie
Endroit de préférence pour le sexe : jambes écartées sur table
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